Citoyennes lavalloises en action

Étiquette : évolution

Le tout est plus que la somme de ses parties

Le sort de la planète vous inquiète.   Vous n’êtes pas seul(e).  Le phénomène d’éco-anxiété fait de plus en plus parler.   On comprend bien pourquoi.   C’est l’avenir de tous qui est en jeu, particulièrement celui des jeunes.

Vous achetez en vrac, prenez les transports en commun, fréquentez les friperies, traînez votre bouteille d’eau mais vous aimeriez voir les gouvernements agir tout comme vous le faites.     Parce que vous savez pertinent bien que, malgré que tous vos gestes soient entièrement louables, ça prend des mesures beaucoup plus grandes pour freiner le réchauffement climatique.

La solution ?    Se rassembler, s’unir, faire front commun.    Parce que c’est vrai dans tous les aspects de nos vies :   1 + 1 = 3 .   C’est-à-dire qu’en gang on est plus fort, on a plus de poids pour faire changer les choses.    C’est faux de penser que le citoyen n’a aucun pouvoir.   C’EST LUI QUI DÉTIENT LE PLUS GRAND POUVOIR quand il décide (parce que c’est un choix) d’unir sa voix à celle des autres.

Mon conjoint, moi avons participé à 5 grandes marches pour la planète qui ont eu lieu à l’automne 2018 à Montréal, de même qu’à la grève mondiale pour le climat du 15 mars dernier.  L’ambiance qu’on y retrouve est magique.    Des gens de toutes les nationalités, de tous les âges, des familles, des amis, des collègues, brefs des êtres humains qui militent tous pour la même cause.   Banderoles, pancartes, flûtes, tambours, slogans, etc.., dans une ambiance amicale.   On fait du bruit pour réveiller les élus, tous paliers de gouvernement confondus.

Et d’une marche à l’autre le noyau grossit.   A la marche de la grève du 15 mars dernier  à Montréal  nous étions plusieurs dizaines de milliers de personnes.     Le 27 avril il faut que ce soit encore plus.

Inscrivez-le tout de suite à votre agenda, venez avec votre famille, vos amis, vos collègues de travail, peu importe mais venez.

La planète compte sur vous.   

Trois points de départ   :
– Place des Festivals, au coin des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance   (Métro Place-des-Arts)
– Parc Laurier, au coin des rues Christophe-Colomb et Laurier  (Métro Laurier)
– Parc Lafontaine, au coin de la rue Rachel et de l’avenue du Parc Lafontaine  (Métro Mont-Royal)

La grande finale aura lieu  sur le Mont-Royal.

 

Sniff sniff !

Lorsque j’ai débuté mes changements à la maison certains ont été très faciles comme par exemple de remplacer les essuie-tout en papier par des guenilles lavables. 

J’ai pris 2 grandes serviettes qui avaient vraisemblablement visité plusieurs plages et qui montraient quelques signes de vieillissement, je les ai simplement coupées en rectangles de la grandeur désirée, et avec ma machine à coudre j’ai cousu le tour de chaque guenille pour éviter l’effilochage.

Voilà maintenant tout près de 2 ans que nous n’avons pas acheté d’essuie-tout papier et ça ne nous manque pas du tout.

À peu près à la même époque, et comme je suis affligée d’une rhinite chronique (me mouche à l’année longue… ce doit être héréditaire ma mère est pareille !), j’ai eu la bonne idée de faire de même avec les papiers-mouchoirs.  Je me suis donc acheté des mouchoirs lavables, en coton,  dans une petite boutique près de chez moi.

Je dois avouer que les mouchoirs achetés étaient un peu trop épais et un peu grands, créant une espèce de monticule disgracieux dans ma poche de jeans.   Aussi, au début j’étais peu convaincue et ressentais un certain malaise à les utiliser devant les gens de sorte que, les quelques fois où je les ai utilisés c’était à la maison, mais je ne délaissais toujours pas les mouchoirs en papier.

Mais ici comme ailleurs la technique du « pas à pas » a fait son chemin dans ma tête, et voilà qu’il y quelques semaines, lors d’un épisode de « trip de couture » j’ai trouvé dans mes armoires une taie d’oreiller toute douce et abandonnée par son kit de draps d’origine avec laquelle j’ai eu l’idée de me coudre des mouchoirs.

Ah !  Ils sont parfaits !    Doux et soyeux à souhait, minces et discrets, carreautés comme ceux de mon grand-père.   Je les utilise maintenant quotidiennement à la maison comme à l’extérieur.  Il faut croire que je n’étais pas tout à fait prête lorsque j’ai acheté mes premiers mouchoirs.

Et croyez-le ou non,  mon amoureux est en train d’adopter le mouchoir lui aussi… pas à pas.

Mais attention :   si un épisode de rhume ou de grippe survenait au cours de cette belle saison hivernale il y a des chances que je me tourne vers le papier-mouchoir (pour éviter la contagion d’abord mais aussi parce que je risquerais d’en manquer !)   Cela ne serait que temporaire, bien sûr.

 

Tout simplement

 

C’est un peu par accident que la Simplicité Volontaire est arrivée dans ma vie.   Il y a environ 5 ans j’ai perdu mon emploi.   Je venais tout juste d’avoir 50 ans (bon c’est fait, vous connaissez maintenant mon âge !).   Pour faire une histoire courte on m’a fait réaliser que je pouvais devenir travailleur autonome, chose qui ne m’avait jamais effleuré l’esprit.

Les 2 premières années, comme toute bonne entrepreneure, je m’investissais de très nombreuses heures par semaine dans cette nouvelle vie, et ça fonctionnait ma foi très bien, jusqu’à ce que je réalise que j’aimais bien le statut de travailleur autonome mais que j’aimais moins ce que je faisais, du travail administratif.

Tout en continuant mon entreprise (faut bien manger !) mais avec moins d’entrain, j’ai essayé différentes choses sans vraiment avoir l’étincelle pour aucune d’elles de sorte que mes revenus se sont mis à diminuer, mais je m’en sortais encore bien.     Et un beau jour, l’étincelle que j’attendais est survenue.    C’est suite au visionnement d’un film (En Quête de Sens), que je me suis soudainement sentie investie d’une mission pour la cause environnementale.

C’est à ce moment que j’ai commencé à vivre selon les principes de la simplicité volontaire et parallèlement à poser de nombreux gestes dans mon quotidien pour tendre vers le zéro déchet, gestes dont je vous parlerai plus longuement dans mes prochains écrits.    Aussi, comme j’aime beaucoup parler aux gens et sachant que je possède des habiletés pour parler en public j’ai créé une « conférence-partage » que j’offre dans des organismes ou lors d’événements, ce qui me permet une autre entrée de revenus mais pour quelque chose qui me plaît vraiment beaucoup.

Aujourd’hui, je travaille entre 15 et 20 heures par semaine et surtout avec ce mode de vie j’ai appris à vivre selon mes propres valeurs (le plaisir, l’entraide, le partage, la simplicité) plutôt que celles de la société (la consommation, la performance, la compétition…)  Pour moi vivre en toute simplicité veut aussi dire disposer de plus de temps pour vivre ma vie.

J’ai adhéré à ce mode de vie pour ces différents aspects :

  • Spirituel :   une vie plus zen et harmonieuse;
  • Santé physique et mentale : moins de stress et moins de malaises dus au stress;
  • Financier : moins de dépenses et de paiements, donc moins de travail;
  • Temporel : plus de temps de qualité pour ce et ceux que j’aime;
  • Social : plus de moments pour m’impliquer dans ma communauté et créer des liens;
  • Environnemental : agir pour un meilleur environnement et vivre en harmonie avec notre belle planète;
  • Liberté :  moins de contraintes et par conséquent pouvoir choisir ma vie et la savourer au maximum.

Évidemment cela se fait un pas à la fois, et certains jours je me laisse encore emporter par le tourbillon de la vie.    C’est en quelque sorte un défi quotidien mais qui devient de plus en plus facile à relever.   C’est exactement comme le mouvement d’un pédalier;  pour démarrer le mouvement cela demande un effort mais à mesure qu’il est entamé, un automatisme s’installe et le pédalier  tourne ensuite plus aisément.

 

Quel chemin ai-je parcouru ?

Montage avec pourcentage de 0% au niveau de la mer à 100 % en haut de la montagne

Il y a maintenant déjà 3 ans, suite à la lecture du livre Zéro déchet de Béa Johnson, que je suis partie du niveau de la mer, soit de zéro, en me disant que j’allais commencer à grimper la montagne de mes grands objectifs afin de tendre vers le zéro déchet, la simplicité volontaire et l’autosuffisance.

Depuis, j’ai entamé une transformation de mes habitudes de vie un pas à la fois afin de bien les incruster dans mes façons de faire en ayant en tête de les transformer en réflexe. Malgré ma grande détermination, il m’est arrivé à plusieurs reprises de revenir sur mes pas, car mes anciens patterns revenaient au galop. Il n’est pas facile de modifier des habitudes bien ancrées.

Toutefois, j’ai réussi tranquillement à continuer de gravir la montagne, mais où suis-je rendue aujourd’hui et quel chemin ai-je parcouru ? Je suis d’avis que le chemin parcouru est beaucoup plus important que l’endroit où je suis rendue. Donc, qu’ai-je accompli jusqu’à présent ?

 

Mon parcours actuel se divise en huit aspects :

  1. Réduire mes déchets
  2. Devenir en partie autosuffisante
  3. Tendre vers la simplicité volontaire
  4. Acheter le plus possible des produits locaux
  5. Enrichir mes connaissances sur l’environnement
  6. Donner du temps à la société
  7. Donner et investir de l’argent pour soutenir les causes environnementales
  8. Partager mes expériences et l’évolution de mes démarches

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Actuellement, j’ai atteint 62 %
du chemin vers le sommet de la montagne
de mes grands objectifs et j’en suis très fière.
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J’ai réduit mes déchets avec de petits gestes rapides comme celui d’apposer l’autocollant pas de publicité et d’autres plus longs, car ils nécessitent d’apprendre à créer des produits (ex : savon, baume à lèvres, etc.). Je tente également de devenir en partie autosuffisante, mais cet objectif est beaucoup plus difficile à atteindre rapidement, car il demande des apprentissages et des transformations majeures de nos fonctionnements au niveau des grandes sphères de la vie (alimentation, énergie, etc.). Un élément qui complexifie également la situation est le fait que j’habite en ville et non en campagne et les lois m’empêchent de faire certaines actions (ex : avoir une éolienne ou un poulailler).

Aussi, je transforme mes habitudes de vie vers la simplicité volontaire. Il faut sortir de nos patterns établis et commencer à voir le monde différemment pour être en mesure de ralentir, de vivre au rythme des saisons et d’être à l’écoute de nos véritables besoins. Pas facile… Je découvre également mon quartier et ses commerces de proximité et j’encourage au maximum les entreprises d’ici et leurs produits qui sont « Faits au Québec » (ex : La braderie de la mode québécoise). Je me tiens bien informée en suivant des cours, par exemple le mooc développement durable – Enjeux et trajectoires, en assistant à des conférences telles que Zéro déchet de Béa Johnson ou bien Les épluchures de Marie Cochard et en participant à des ateliers pour parfaire constamment mes connaissances comme celui sur la fabrication de produits d’entretien ménagers de chez Coop coco ou celui sur la fabrication de dentifrice et de déodorant par Les trappeuses.

Je fais également des dons mensuels à Greenpeace depuis des années en plus de faire également du bénévolat pour différents organismes. Dernièrement, j’étais bénévole au Festival zéro déchet organisé par l’Association québécoise zéro déchet. Finalement, je partage avec vous mes expériences par le biais de ce blogue.

Voilà le chemin que j’ai parcouru jusqu’à présent et je vais continuer d’avancer; un pas vert à la fois. Si vous désirez en savoir plus et connaître également où vous êtes situés de votre côté, je vous réfère à l’annexe ci-dessous.

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ANNEXE

Voici maintenant une liste détaillée de gestes à mettre en pratique avec le niveau que j’ai atteint à ce jour :

Légende
(pourcentage approximatif d’accomplissement du geste)
Zéro % 0 %     icône de 25 % 25 %     icône de 50 % 50 %    icône de 75 % 75 %   icône de 100 % 100 %   icône non applicable  Non applicable


1. Réduire mes déchets

Général
icône de 75 % J’achète des choses en vrac ou avec le moins d’emballage possible.
icône de 100 % Avant de jeter, je tente de voir si l’objet peut encore servir d’une façon ou d’une autre.
icône de 100 % Je dépose papier, carton, verre, aluminium et métaux ferreux dans mon bac à recyclage ou un autre situé dans mon environnement immédiat (au travail, endroits publics, etc.).
icône de 50 % J’ai décidé de consommer les éléments emballés et ne plus en acheter.
icône de 100 % Je pose un autocollant sur ma porte d’entrée et dans mon casier postal pour ne plus recevoir de publicité.
icône de 75 % Je remplace les objets à usage unique par des objets réutilisables.
icône de 100 % J’ai une bouteille d’eau réutilisable et je n’achète plus de bouteilles jetables.
icône de 100 % Je n’accepte plus les objets promotionnels que l’on reçoit gratuitement (stylo, tasse, échantillons variés, etc.).
icône de 100 % Je laisse un sac réutilisable et un contenant dans la voiture pour les achats imprévus.
icône de 100 % Je laisse un sac réutilisable dans mon sac en permanence pour les achats imprévus.
icône de 100 % J’emballe mes cadeaux avec du tissu ou un autre matériau réutilisable.
icône de 100 % J’utilise des serviettes de table en tissu.
icône non applicable J’utilise des couches lavables pour mon enfant.
icône de 50 % J’achète en vrac ou je fabrique nos produits corporels (savon, shampoing, crèmes, etc.)
icône de 50 % J’achète en vrac ou je fabrique nos cosmétiques (mascara, fard à joue, baume à lèvres, etc.)
Alimentation
icône de 75 % J’achète des aliments en vrac avec mes propres contenants.
icône de 100 % Je privilégie les fruits et les légumes qui ne sont pas emballés.
icône de 100 % J’utilise des sacs réutilisables et des contenants pour faire mon épicerie.

Kit d'épicerie standard

Ancien kit d’épicerie : sacs réutilisables et petits sacs de plastique pour les fruits et les légumes

Kit d'épicerie zéro déchet

Nouveau kit d’épicerie zéro déchet : sacs en filet pour les fruits et les légumes, bocaux en stainless pour la viande, le poisson et le fromage, contenant rond pour le gâteau, taie d’oreiller pour le pain, sacs réutilisables et un sac de transport cousu en deux afin d’y insérer les bocaux et muni de pochettes pour y ranger les sacs en filet et la taie d’oreiller.

icône de 100 % J’utilise des sacs réutilisables pour les autres achats (vêtements, outils, etc.)
icône de 75 % J’utilise mes restes plutôt que de les jeter.
Zéro % Je garde mes épluchures de légumes pour faire du bouillon.
icône de 75 % Je composte mes matières organiques chez moi ou avec ma municipalité.
Entretien
icône de 75 % J’achète en vrac ou je fabrique nos produits d’entretien ménager.
icône de 75 % Je répare ou je fais réparer par un professionnel (cordonnier, rembourreur, etc.) mes objets de toutes sortes.
icône de 75 % J’utilise des lingettes en tissu plutôt que des essuie-tout.

 

2. Devenir en partie autosuffisance

Eau
icône de 100 % J’ai un baril de récupération d’eau de pluie.
Zéro % Je récupère l’eau de cuisson pour arroser mes plantes.
Alimentation
icône de 50 % Je fais mes semis.
icône de 25 % Je fais des germinations.
icône de 75 % Je fais un potager.
icône de 50 % Je fais des réserves (conserves, semences, bulbes, etc.).

Réserves de conserves, d'oignons, de pommes et de courges

Mes réserves : conserves, patates, oignons, courges et pommes

Zéro % Je conserve certains aliments dans une chambre froide.
Zéro % J’ai un poulailler.
Zéro % J’ai une ruche.
Zéro % J’élève des animaux pour la viande et/ou les produits laitiers (ex : vache, cochon, chèvres, etc.).
Énergie
Zéro % Je m’auto-alimente en énergie (panneaux solaires, éoliennes, géothermie, etc.).
icône de 50 % J’utilise la corde à linge pour étendre mes vêtements.
Savoir-faire
icône de 75 % Je sais coudre.
icône de 50 % Je sais tricoter.


3. Tendre vers la simplicité volontaire

Général
icône de 25 % Les pièces de mon chez-moi sont épurées (cuisine, salon, chambre(s), bureau, sous-sol, placard(s), garage, etc.).
icône de 100 % J’achète dorénavant de façon responsable en me demandant si j’en ai vraiment besoin.
icône de 75 % Je diminue les heures devant la télévision.
icône de 25 % Je diminue les heures devant l’ordinateur.
Zéro % J’ai des plantes qui purifient l’air efficacement dans ma maison ou mon logement.
icône de 100 % Je limite l’achat de « produits miracle » pour entretenir ma maison ou mon logement.
icône de 100 % J’opte davantage pour des produits écologiques.
icône de 75 % J’achète des objets de bonne qualité et faits de matériaux nobles (bois, métal, etc.).
icône de 75 % Je me concentre sur ce que j’ai plutôt sur ce que j’aimerais avoir.
icône de 75 % Je privilégie les loisirs gratuits ou peu coûteux.
icône de 100 % Je passe plus de temps à m’amuser en famille ou entre ami(es).
icône de 75 % Je fais davantage d’activités extérieures.
icône de 75 % J’achète de deuxième main dès que possible (friperie, vente de garage, etc.).
icône de 100 % J’attribue un verre à chaque personne de la famille ou à chaque colocataire.
Alimentation
icône de 100 % Je cuisine davantage.
icône de 50 % Je mange au rythme des saisons.
icône de 50 % Je diminue ma consommation de viande.
icône de 25 % Je regroupe des ami(es) à l’occasion pour cuisiner en groupe.
Transport
icône non applicable J’évalue le fait d’avoir deux voitures pour une seule famille.
icône de 100 % Je privilégie l’achat local et marche ou prend mon vélo lorsque c’est possible.
icône de 100 % Je prends davantage les transports en commun.

Ma carte OPUS

Ma carte OPUS : actuellement le transport en commun est mon moyen de transport principal.

Zéro % J’utilise un système d’auto-partage.
Gaspillage
icône de 100 % Je ferme l’eau lorsque je me brosse les dents.
icône de 75 % Je diminue la durée de mes douches (5 minutes maximum).

Ma minuterie dans ma douche

Ma minuterie dans ma douche afin d’avoir la notion du temps du 5 minutes maximum.

icône non applicable Je lave ma voiture peu souvent et avec un seau d’eau.
icône de 100 % J’ai un pichet d’eau dans mon réfrigérateur.

Ma bouteille d'eau dans mon frigo

Ma bouteille d’eau dans mon frigo afin de toujours avoir de l’eau froide.

icône de 50 % Je baisse le chauffage la nuit.
icône de 50 % J’utilise le moins possible le système de climatisation.
icône de 25 % Je fais une bassine d’eau pour laver la vaisselle.

4. Acheter le plus possible de produits locaux

icône de 25 % Acheter des vêtements fabriqués au Québec.
icône de 50 % Acheter des fruits et légumes des fermiers du Québec.
icône de 25 % Acheter de la viande des fermes d’élevage du Québec.
icône de 50 % Acheter des objets conçus et fabriqués au Québec.
icône de 50 % Je fais mes achats dans des commerces de proximité.

5. Enrichir mes connaissances sur l’environnement

icône de 100 % Je suis un ou plusieurs cours qui touchent de près ou de loin à l’environnement, au zéro déchet, à la simplicité volontaire ou à l’autosuffisance.
icône de 100 % Je participe à un ou plusieurs ateliers qui abordent une thématique environnementale (ex : confection de savon, apprendre à faire des semis, etc.)
icône de 100 % J’assiste à une ou plusieurs conférences sur une thématique environnementale (ex : zéro déchet, gaspillage alimentaire, etc.).

6. Donner du temps à la société

icône de 25 % Je fais du bénévolat pour des organismes qui ont une mission en lien avec l’environnement.
Zéro % J’organise des activités qui aborde une thématique environnementale.
icône de 100 % Je fais partie d’un ou de plusieurs regroupements environnementaux.

7. Donner ou investir de l’argent pour soutenir les causes environnementales

icône de 100 % Je fais un don mensuel à un ou plusieurs organismes environnementaux.
Zéro % Je fais un don ponctuel pour soutenir un start-up innovant au niveau environnemental.
Zéro % J’investis mon argent dans des fonds éthiques dans la catégorie environnement.

8. Partager mes expériences et l’évolution de mes démarches

icône de 100 % J’écris un blogue pour partager mes expériences.
icône de 100 % J’ai une page facebook pour partager des références, des vidéos, des articles ou autres en lien avec l’environnement.
Zéro % J’organise des rencontres de groupe pour partager mes expériences.
Zéro % Je fais des conférences pour partager mes expériences.

Faites un pas vert ou plusieurs : c’est à vous de jouer !

Un nouveau blogue est né !

Bienvenue sur En harmonie avec la terre !

Ce blogue voit aujourd’hui le jour grâce à une rencontre imprévue de deux citoyennes lavalloises, Diane Mongeau et Magalie Patenaude. Nous nous sommes rencontrées lors d’une conférence qui abordait une sous-thématique d’un sujet qui nous passionne toutes les deux : l’environnement.

À travers En harmonie avec la terre, nous souhaitons partager avec vous nos expériences, nos trucs et nos astuces en vous dévoilant la transformation de nos habitudes de vie vers des pratiques plus durables et saines pour l’homme et son environnement.

Nous avons décidé de concentrer nos actions pour tendre vers 3 éléments :

  • le zéro déchet
  • la simplicité volontaire
  • l’autosuffisance

Crédit photo : Marc Hébert

Pour toi > pour moi > pour nous,
pour la Terre > pour les générations futures,
changeons et évoluons un pas vert à la fois…